LE MOT DU PRESIDENT Si quelqu'un a fait quelque chose de bien pour l'Afrique, fais le savoir, diffuse-le. Cela encouragera d'autres à faire mieux pour l'Afrique, soit parce qu'ils soutiennent la bonne œuvre dont tu parles, soit parce qu'ils n'aiment pas tellement celui pour qui tu témoignes, mais s'ils sont de bonne foi ils chercheront eux aussi à mieux faire pour damer le pion à d'autres. Dans l'un ou l'autre cas, c'est l'Afrique qui gagne et c'est le plus important pour moi. Chacun prêche pour sa paroisse. Ma paroisse c'est l'Afrique et mes frères sont tous ceux qui, Africains d'origine ou d'adoption, Africains de sang ou d'esprit, dans le continent ou en dehors du continent, sont Africains dans l'âme et apportent leur contribution quelque modeste qu'elle soit. C'est la voie que j'ai en définitive choisie pour lutter contre un « afropessimisme » qui risque de paralyser les âmes de bonne volonté au lieu de susciter des vocations puisant leurs forces dans les traditions africaines et la modernité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . |